
Aire liquide n° 5

Langoiran: https://soilu.wordpress.com/2018/02/04/langoiran-bord-de-garonne/
À grands coups de crayon, le paysage se dessine ainsi ce soir…
Balade du côté de Langoiran. Avant de me balader dans les petites ruelles de la ville, je profite de cette douce lumière hivernale pour faire une pose longue sur la Garonne
De part et d’autre, les deux entrées de l’édifice donnent une impression de mouvement, de flux et de reflux entre l’intérieur et l’extérieur. Une entrée vers la ville, une autre vers le fleuve. Pour en savoir plus… http://www.laciteduvin.com/fr/explorez-la-cite-du-vin/architecture/edifice
La Cité du Vin n° 1: http://wp.me/p29Zqg-15E
La Cité du Vin n°2: http://wp.me/p29Zqg-160
A partir du port de Barsac, après avoir passé le petit pont qui enjambe le Ciron, la nature se fait plus sauvage …
Le baiser sous le gui
Chez les Druides, le gui était considéré comme une plante sacrée. Selon eux, cette plante avait des propriétés miraculeuses, dont celles de guérir certaines maladies, d’immuniser les humains contre les poisons, de leur assurer la fertilité et de les protéger des méfaits de la sorcellerie. De plus, lorsque des ennemis se rencontraient sous le gui dans la forêt, ils devaient déposer leurs armes et observer une trève jusqu’au lendemain. C’est de là que proviendrait, paraît-il, cette ancienne coutume de suspendre une boule de gui au plafond et d’y échanger un baiser en signe d’amitié et de bienvaillance.
Une autre version raconte cependant que cette coutume, fort répandue chez les anglo-saxons, était rattachée à la légende de Freya, déesse de l’amour, de la beauté et de la fécondité. Selon la légende, un homme devait embrasser toute jeune fille qui, sans s’en rendre compte, se trouvait par hasard sous une gerbe de gui suspendue au plafond.
http://www.culture.gouv.fr/culture/noel/franc/gui.htm
Un grand bonjour à tous mes amis blogueurs pour un grand retour sur le site!
Panne d’ordi… depuis janvier… Grr!
Vive le vent…
La Garonne