Ce jour-là, la côte est balayée par le vent
Nous nous sommes donc repliés dans la forêt pour profiter de la douceur du soleil

Ce jour-là, la côte est balayée par le vent
Nous nous sommes donc repliés dans la forêt pour profiter de la douceur du soleil
La plage du Petit Nice .En période hivernale, c’est une plage un peu sauvage!
J’aime déambuler dans cette ambiance apocalyptique . Une vraie mise en scène!
L’été, c’est un autre univers. La plage bien nettoyée et aseptisée se pare de couleur bariolée.
Parasoles , serviettes de bain et corps bronzés et…
Vive les vacances!😎
Gradignan – parc de Mandavit – Une rencontre surprenante!
Léognan – : le lac bleu
Sans qu’on y prête attention, les arbres séduisent et content fleurette à dix, vingt ou trente mètres de haut.
Mes balades pendant le confinement!
1heure, 1km, 1photo
poème: Jacques Prévert Yves Montant
Oh! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps-là la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois, je n’ai pas oublié
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l’oubli
Tu vois, je n’ai pas oublié
La chanson que tu me chantais
C’est une chanson qui nous ressemble
Toi, tu m’aimais et je t’aimais
Nous vivions tous les deux ensemble
Toi qui m’aimais, moi qui t’aimais
Mais la vie sépare ceux qui s’aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie
Je t’aimais tant, tu étais si jolie
Comment veux-tu que je t’oublie
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n’ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais
Mes balades pendant le confinement!
1heure, 1km, 1photo
poème: Jacques Prévert Yves Montant
Oh! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis
En ce temps-là la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Tu vois, je n’ai pas oublié
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du nord les emporte
Dans la nuit froide de l’oubli
Tu vois, je n’ai pas oublié
La chanson que tu me chantais
C’est une chanson qui nous ressemble
Toi, tu m’aimais et je t’aimais
Nous vivions tous les deux ensemble
Toi qui m’aimais, moi qui t’aimais
Mais la vie sépare ceux qui s’aiment
Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable
Les pas des amants désunis
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
Mais mon amour silencieux et fidèle
Sourit toujours et remercie la vie
Je t’aimais tant, tu étais si jolie
Comment veux-tu que je t’oublie
En ce temps-là, la vie était plus belle
Et le soleil plus brûlant qu’aujourd’hui
Tu étais ma plus douce amie
Mais je n’ai que faire des regrets
Et la chanson que tu chantais
L’automne à son charme☘☘☘ et son lot de ratissages pour évacuer ces immenses feuilles du paulownia de mon jardin🌞
La nuit tombe… les lumières de la rue s’allument et diffusent dans le jardin une autre palette de couleurs