Active à peine plus d’un an pendant l’Occupation, la base sous-marine de Bordeaux cristallise encore les souvenirs douloureux des heures sombres du Port de la Lune. Le bunker attire pourtant depuis les années 1960 des artistes, cinéastes, plasticiens et musiciens fascinés par l’esprit du lieu ” Mathieu Marsan, 2011