Ambiance électrique dans l’Entre-deux-Mers

.La haute tension en un coup d’oeil…



Entre Dordogne et Garonne, l’Entre-deux-Mers

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Danse danse danse… à Talence L’Espace Médoquine

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Zoom sur ces deux danseuses…

L’Espace Médoquine est une salle de concert de l’agglomération bordelaise située à Talence

Des anciennes carrières en Gironde

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Une belle ambiance verte dans cette ancienne carrière. Par bonheur, j’avais mon pied photo…


En sortant de la carrière, je ne peux résister à cette dernière prise de vues sur cette  tonnelle naturelle qui abrite ces magnifiques fougères

 

La Côte d’Argent – L’Océan

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Naissance de la Côte d’Argent

Le littoral des Alpes-Maritimes a été le premier à être baptisé « Côte d’Azur » en 1887. En 1894, les stations balnéaires entre Cancale et le cap Fréhel (Saint-Malo, Dinard, Paramé) sont regroupées sous l’appellation de « Côte d’Émeraude », sur l’idée de l’avocat malouin Eugène Herpin. Ce mouvement étant lancé, il est normal que la côte aquitaine ait aussi sa couleur.

En 1905, le journaliste, reporter et poète Maurice Martin donne aux rivages de la côte Aquitaine le nom de « Côte d’Argent », expression inspirée des reflets argentés en surface de l’océan Atlantique. Cette appellation concerne dans un premier temps tout le littoral aquitain, de Royan à Hendaye. Il expose son idée le 20 mars 1905 devant un parterre de journalistes et notables locaux lors d’une halte à Mimizan-les-bains
Ce nouveau concept remporte l’approbation de l’assistance. En 1907, le Congrès national des sociétés de géographie consacre officiellement ce vocable. Diffusé avec succès, il est repris par photographes et affaires commerciales.

https://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%B4te_d%27Argent

La Côte d’Argent – La plage de la Salie

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Errance … Sur cette immense plage,  les promeneurs ce font rares.



Le wharf de la Salie, situé sur la commune de la Teste de Buch, entre le Pyla et Biscarrosse-plage, est un émissaire en mer de 800 mètres de long qui permet de rejeter les effluents de quatre stations d’épuration du Bassin d’Arcachon, acheminés par un collecteur de 65 kilomètres.